Que savons-nous du tango ?
Musique métissée d’Amérique du sud, folklore, images de carte postale, musique classique…
Arrivée de Buenos Aires à Paris au début des années 80, figure incontournable des fameux Trottoirs de Buenos Aires (mythique cabaret et académie de tango du quartier des halles), Sandra Rumolino, parfois danseuse ou comédienne mais chanteuse avant tout, pense au tango comme une musique populaire, dans le sens le plus noble du terme. Bref, musique vivante.
Ainsi est né “Viento Sur” (vent du sud), la rencontre de la musique argentine et de la musique de l’Est, Saudade de la mer noire ou boléro de Bucarest, milonga de Tulcea ou candombe de Constantza.
Un regard tendre et décalé forcément habité des fragrances du tango sur une Argentine dépecée par les théories économiques de l’école de Chicago, mais toujours debout et fière de sa culture comme de sa population.
Sortie de « Viento sur », lundi 24/11, à découvrir en exclusivité sur www.mvsmusic.fr
Musique métissée d’Amérique du sud, folklore, images de carte postale, musique classique…
Arrivée de Buenos Aires à Paris au début des années 80, figure incontournable des fameux Trottoirs de Buenos Aires (mythique cabaret et académie de tango du quartier des halles), Sandra Rumolino, parfois danseuse ou comédienne mais chanteuse avant tout, pense au tango comme une musique populaire, dans le sens le plus noble du terme. Bref, musique vivante.
Ainsi est né “Viento Sur” (vent du sud), la rencontre de la musique argentine et de la musique de l’Est, Saudade de la mer noire ou boléro de Bucarest, milonga de Tulcea ou candombe de Constantza.
Un regard tendre et décalé forcément habité des fragrances du tango sur une Argentine dépecée par les théories économiques de l’école de Chicago, mais toujours debout et fière de sa culture comme de sa population.
Sortie de « Viento sur », lundi 24/11, à découvrir en exclusivité sur www.mvsmusic.fr