
Bonjour !
Les nouvelles nouvelles :
François Ville propose une nouvelle chanson, qui ne va pas vous faire danser tout l’été, « La Douleur » en exclusivité sur le site Airtist http://www.airtist.com/francoisville, ce qui permet de télécharger ce titre de façon gratuite, légale et éthique, contre le visionnage d’une publicité. S’il n’y a pas de publicité disponible, vous pouvez acheter le morceau au prix dérisoire de 0.20 Euros ! Télécharger sur Airtist c’est soutenir l’artiste autoproduit dans son travail.
« La Douleur » est une chanson à texte (cf. les paroles recopiées ci-dessous) mais avec de grosses guitares saturées et un refrain puissant. Elle évoque la souffrance physique en général et celle de l’artiste en particulier, puisqu’il souffre quotidiennement depuis 1997.
Ni une ni deux le site Airtist a déjà fait la promotion de cette chanson sur son blog : http://www.airtist.com/Blog/francois-ville-la-douleur-nouveau-titre/
Deux nouvelles radios ont demandé à diffuser la musique de François Ville et toutes deux sont américaines :
http://www.waer.org/index.html est diffusée à New York.
http://www.imradio.com/ est une webradio.
Une bloggueuse de myspace, MuMuZic, fait aussi la promo de François Ville :
http://blogs.myspace.com/index.cfm?fuseaction=blog.view&friendId=489600368&blogId=504033550
De même christine2964 sur Twitter : http://twitter.com/christine2964 (http://bit.ly/4lYauS)
La Douleur
De nerfs calmes à nerfs agités, une torture,
La douleur est là comme toujours, un supplice,
Une vague une marée montante propice
A la folie dans la cervelle, à la rupture.
Sans savoir le pourquoi de cette défaillance,
Le corps se transforme en éternel purgatoire,
Un lieu d'affliction et de lucidité noire,
Où le moindre plaisir semble fait de faïence.
La souffrance apparaît tel un être vivant,
Sombre obsession, abominable compagnie,
Le chancre joue avec son hôte au juste cri,
Et l'importun touche au but en se concentrant.
L'éprouvant tourment se vit dans la solitude,
Impossible compréhension de l'entourage,
Le mal physique corrode l'âme en tout rage,
Et la froideur des autres devient habitude.
Alors il faut faire semblant, feindre la joie,
L'infirme rit malgré son martyre endémique,
Perpétuel simulacre et lutte chimérique,
Juste pour préserver le lien social étroit.
Mais quelques fois trop attisé par le bonheur,
Le coeur saigne, traumatisé, morne et fourbu,
Atroce plainte d'un immense espoir perclus,
L'idée de mort, alors, s'exhibe de splendeur...
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Dernière édition par francoisville le Sam 5 Sep - 12:54, édité 2 fois